L' AVIS CGT SUR LES DOSSIERS |
Lyon, le CONDENSE de ce que la CGT a garanti ou obtenu le 12 janvier 2011 et qui justifie une suspension de la grève. A la suite des grèves de fin 2010, COMMUNIQUE CGT explicatif sur notre positionnement vis à vis de la grève et de l'intersyndicale
à consu CAHIER REVENDICATIF ÉTABLI en AVRIL 2009 à l'assemblée générale;
29 aoû également : lettre CGT adressée à Mr le Président du Conseil d’Administration du SDIS du Rhône, Copies à Monsieur le Préfet, Mr les Maires du Rhône.
Objet : Positionnement CGT suite
réunion du 21 août 2003.
2- Révision du
règlement opérationnel du SDIS du Rhône afin de le rendre conforme à
l’article R 1424-42 du CGCT qui précise, entre autre, « que le règlement
opérationnel fixe
6- Arrêt des changements d’affectations ! Ils nuisent au fonctionnement d'un corps départemental trop jeune par la force des choses et dont l’encadrement est assuré par des sous-officiers qui sont placés en position d’échec professionnel.
Obligés d’abandonner, par
décision arbitraire, un centre, un secteur, et une ou des spécialités
qu’ils maîtrisent, privant ainsi de leur expérience et de leur
technicité l’ensemble du service, ils sont démotivés et mis en
difficulté sous les yeux des plus jeunes.
Arrêt également des changements
temporaires d’affectations des sapeurs et surtout des sous officiers,
mouvements très en vogue ces derniers temps, sources de désorganisation
totale et de péril sur interventions ( matériel + personnel + secteurs
inconnus = danger +++ ).
9- Afin de tendre vers la suppression totale de la garde postée de sapeurs pompiers volontaires, confirmer dès à présent la limitation ferme à 600 du nombre d’heures de gardes postées.
L’application de ces dispositions n’est pas utopique, mais fondé sur un souci réel d’organisation rationnelle du service pour une efficacité garantie en tout temps, avec une complémentarité SPP SPV affirmée, mais sans les dérives observées actuellement tant du point de vue réglementaire que du point de vue « éthique ». Dans l’attente d’une prochaine réunion sur ces sujets, nous vous prions d’agréer, monsieur le président du conseil d’administration, l’expression de nos sentiments respectueux.
Pour le bureau syndical C.G.T., _________________________________________________ Rappel du positionnement CGT début 2002 sur les réformes DU SDIS du Rhone
Dans le contexte actuel
de réformes au sein du SDIS nous constatons chaque
jour de nouveaux dysfonctionnements dans lorganisation
tant sur le plan administratif que sur le plan opérationnel,
ce qui est plus grave car dommageable pour la population
secourue. nous
avons réussi, au terme d'un an fait de luttes, manifestations et
grèves, à sauver les appartements, le régime 24h, faire appliquer une
RTT conséquente, à échapper aux 8 heures, à faire recruter
plus de 250 professionnels en 2002, à faire appliquer en partie la
réforme de la filière, mais beaucoup de travail reste à faire, et
nous aurons besoin d'être soudés pour y parvenir. Des
changements majeurs sont intervenus, et l'on se retrouve dans un beau « bordel », car cest
bien de cela quil faut parler, et il n'y a avant de faire exploser la
marmite, déjà bien pleine, pas grand chose à faire. Que les élus
continue donc, le temps d'assumer arrivera bientôt. L'assemblée
générale de fin septembre sera de ce point de vue décisive. Toujours est il qu'à la CGT des SPP du SDIS du Rhône : l'emploi et la place des SPV à Lyon i,ntra muros et dans les gros centres d'intervention Les primes pour les jeunes recrues La réforme de la filière et l'augmentation des quotas établis fin 2001 Le respect des lois et règlements pour la mise en place du règlement opérationel.
-
Nous refusons lemploi de SP volontaires dans les
centres dintervention professionnels à forte
charge opérationnelle, les SPV ne sont pas faits pour ça,
et refusons également le fait quun service de sécurité
soit assuré par 14 SPV sur 14 au stade de Gerland (exemple
du 2/02/02).
On invoque du coté de la direction lenrichissement
quobtiendra le volontaire en venant dans les
centres pros, cest faux, on veut se servir deux
pour combler le manque de professionnels, et avec les fréquences
dinterventions qui seront les leurs, ils n auront
pas une minute à eux pour se former !
De plus ils
seraient beaucoup plus judicieux de les affecter dans les
milieux ruraux ou le besoin de disponibilité est réel
et ne peut pas être comblé par des professionnels vu le
nombre dinterventions à effectuer, sauf en y
mettant le prix, ce qui nest hélas pas la volonté
politique. - Nous ne cautionnons pas larrivée dauxiliaires civils payés 3000 F/ mois (24 f/h ) pour se faire « péter la gueule », et nacceptons pas de voir la précarité, lintérim, sinstaller dans notre métier. Quel père de famille peut accepter de voir son enfant ainsi exploité, avec autant de risques inhérents à ses missions ? -
nous exigeons l'arrêt immédiat des mutations qui désorganisent le
SDIS -
Nous exigeons des effectifs
supplémentaires au
CTA, et refusons que les professionnels manquants soient remplacés par
des SPV. -
Nous n'avons pas digéré la fermeture de lunité
restauration, le reclassement des agents dans des métiers
qui ne sont pas les leurs (ne veut on pas recentrer les
gens sur leur métier, dixit le Président Mercier ?
). La cuisine restait, avec le mess, lunique « lieu de vie »,
le seul gage de cohésion des équipes qui subsiste dans
tout ce remue ménage. -
Pour les chambrées, elles sont ABSOLUMENT NECESSAIRES au
« repos du guerrier », et ce nest pas
une salle commune ou un dortoir bruyant (avec dincessants
va et vient dûs au départs, etc
) quil faut
aux sapeurs pompiers, mais bel et bien une chambre digne
de ce nom, avec des repères fixes (affaires rangées,
lits individuel, aménagements,
), lieu fermé et
privatif, qui permettra de conserver un SPP au mieux de
sa forme et donc efficace sur intervention. Dautant
que les structures existent déjà
Toujours léternelle
question, pourquoi casser ce qui marche bien ??? -
Le standardiste en compagnie est INDISPENSABLE, et dune
décision autoritaire et irréfléchie, dans un unique
souci déconomie de personnel, malgré un refus
unanime et catégorique au CTP, le Colonel Delaigue l'a supprimé,
ce qui occasionne de très nombreux retards et
dysfonctionnements et
reporte la charge de cette fonction sur des équipes en départ
immédiat au détriment dune bonne répartition de
la charge opérationnelle sur lensemble de la garde.Nous réclamons le
maintien de ce poste vital ( reclassement pourquoi pas ? ) pour la bonne marche des
centres. En attendant, dès 8
heures, tous les agents de la garde feront leurs missions
prévues (inventaires, manuvres, sport, etc
),
et le STANDARD SERA VIDE !!! -
Les VSAB A TROIS SP , cest NON, NON, ET NON !
Dans cette armée mexicaine, nous devons, si on a les
moyens davoir autant de colonels (augmentation de
50 %), avoir aussi les moyens de maintenir les VSAB à 4 pompiers
professionnels tout le temps, et nous exigeons le RESPECT DES
PAROLES données par tous (élus, préfet, directeur
)
sur ce sujet. Nous naccepterons
pas que la règle de gestion qui prévoie des VSAB à 3
hommes en pied subsiste, le CA doit mettre les effectifs
en place, et DOIT PREVOIR
une marge de sécurité pour les absences inéluctables,
selon leurs termes ! ( Colonel, les statistiques, cest
votre spécialité, vous nous en servez à toutes les
sauces, alors nous aussi et nous affirmons
et prouvons quend vous le voulez quil
faut par centre 10% de marge en plus à létablissement des
tableaux de garde). -
Nous demandons une souplesse dans la gestion des services,
notamment en ce qui concerne les aménagements des cycles,
ou les remplacements du matin, entre agents, échanges de
demi gardes 24h, de 12h, et la possibilité pour un agent
de se constituer un « capital jours » à
prendre à discrétion pour partir quand il le souhaite
avec sa famille. -
Le système précédent permettait une qualité de vie,
et grâce à cela, les agents faisaient plus defforts
pour le service, la tendance actuelle, avec les règles
édictées, est à la totale démotivation de tous, nous
demandons à la direction de prendre en compte les
demandes des agents pour que les sapeurs pompiers soient
biens, et que le service tourne bien, pour éviter les
heurts et les crises dautoritarisme de certains frustrés, et
faire baisser le taux d'arrêts maladies qui a grimpé en flèche .... Nous ne voulons pas nous
retrouver à limage dautres administrations
avec des files dattente, des délais longs de
traitement, un taux dabsentéïsme élevé, car là,
DES VIES SONT EN JEU , et ce serait vous, conseil dadministration
et directeur du SDIS réunis les seuls responsables. - Des primes sont nécessaires
pour les jeunes recrues afin de leur donner une juste
reconnaissance de leur dévouement et les motiver pour ce
beau métier, et nous demandons que nos propositions
soient étudiées très rapidement - Nous exigeons de prendre
le temps de la réflexion, de la mise ne place, de bien
mesurer les effets pervers de tel ou tel dispositif à
plus ou moins long terme, avant denvisager toute réorganisation
qui pourrait savérer nécessaire au sein du SDIS
et surtout darreter ce semblant de démocratie qui
veut faire croire aux gens que les groupes de travail
servent à quelque chose, car nous ny venons pas
pour écouter vos propositions irrévocables, mais pour
construire ENSEMBLE lavenir du corps départemental. Mr le président du CA,
messieurs les élus, Mon colonel, sachez quà la
CGT, forts de notre représentativité, nous avons un idéal de service
public de QUALITE et jusquau bout pour la défense
du service public et de notre profession, nous ferons tout pour vous en
convaincre et arriver à une situation "saine". LE BUREAU SYNDICAL C.G.T.
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